TEMOIGNAGES




Mes chers amis, une nouvelle rubrique verra bientôt le jour sur ce blog, en effet un espace témoignage va venir compléter cet endroit ou vous pourrez vous exprimer librement en y déposant vos histoires vécues, vos témoignages, vos fantasmes, n'hésitez donc pas à me les faire parvenir, c'est avec un grand plaisir que vos écrits seront ajoutés chaque jour afin que nous puissions communiquer davantage ensemble, bonne rédaction à tous, lâchez vous, sans honte et retenue mikaloche@yahoo.fr



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Voici le premier récit de cette rubrique, un grand merci à son hauteur




LES ESSAYAGES  par Mykola De Saint Valle


J’ai dix-huit ans, mesure 1m80 pour 70kg, cheveux blonds, coupés courts, des yeux gris, bouche assez larges aux lèvres délicatement ourlées, menton volontaire. Je pratique de l’athlétisme.
Avançant tranquillement en léchant les vitrines des magasins des grands boulevards, je repérai la devanture du magasin que je cherchai : Rêve de Cuir. Juste une porte, pas de vitrine à ce commerce. J’appuyai légèrement sur la sonnette à droite de l’entrée. Au-dessus dans l’angle gauche, il y avait une caméra de vidéo surveillance.
Un bref ronronnement et le battant pivota pour me permettre de pénétrer dans les lieux avant de se verrouiller dans mon dos.
La grande pièce où je me trouvais tenait plus du salon d’attente que du magasin : quelques fauteuils et une table basse encombrée de magazines et revues exclusivement consacrés au cuir. De grandes photos, mises sous verre, étaient accrochées ici et là, montrant des garçons de mon âge ou un peu plus vieux parées de divers peausseries ou nus, libres ou entravés, avec un homme tenant un instrument correctif en main.
Un garçon de mon âge, brun, mince, yeux bleus perçant, vêtu d’un simple short de cuir noir, s’approcha de moi :
-Bonjour, je m’appelle Philippe. Que puis-je faire pour vous être utile ?
-Je suis Olivier. Mon Maître a pris rendez-vous pour moi.
-En effet. C’est moi qui vais vous guider dans vos choix, enfin ceux que votre Maître a suggéré pour vous. Suivez-moi.
Je souris et me mis dans ses pas.
Nous empruntâmes un ascenseur qui nous déposa au premier étage.


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La porte s’ouvrit sur une très grande pièce sans fenêtre où s’offrit à mes yeux une impressionnante diversité d’instruments de correction. Il y avait là, accrochés du haut en bas des murs, sur plusieurs rangs, suspendus à des tourniquets, alignés sur des étagères, posés sur des présentoirs, des fouets, des martinets, des courbaches, des cravaches, des tapettes, des raquettes, des paddles… de toutes les espèces, de toutes les longueurs, de toutes les épaisseurs… faits des peaux les plus fines aux cuirs les plus rudes, lisses, tressés, pourvus de nœuds, armés de billes d’os ou d’acier, semés de têtes de clous ou hérissés de fines pointes… certains agrémentés de pommeaux et viroles de métal précieux, d’autres pourvus d’un manche en bois, corne ou ivoire, façonné en forme de priape, dont la perfection réaliste me donna chaud.
Sur un coté se trouvaient des plugs ou godes de toutes les tailles, des gels dont certains étaient traités au piment.
Philippe se dirigea vers une porte qui, une fois franchi, donnait sur un couloir avec de chaque coté des portes closes.
A la troisième, mon guide l’ouvrit, s’effaça afin que j’entre et la referma dans mon dos, expliqua :
-Allez à la table, vous verrez ce que votre Maître a choisi pour vous…
Je découvris avec surprise : un martinet à trois douzaines de lanières, larges d’un centimètres, longues de cinquante, taillées dans un souple chevreau, noires et fixées sur un manche de buis poli ; d’un second, à six lanières seulement, un peu plus étroites, mais plus longues et plus épaisses, au manche de corne phallique de dimensions respectables ; d’une cravache d’un mètre de long, pourvue d’une languette  de cuir noir longue et large de trois doigts ; d’un paddle dont la partie « frappante » mesurait vingt centimètres de long sur huit de large ; enfin deux petits pots en verre contenant du gel, qui avait la particularité d’être pimentés.
Philippe s’approcha de moi, dit :
-Je dois vous faire apprécier, sur ordre de votre Maître, l’efficacité de ces


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matériels. Si vous le voulez bien, nous pouvons commencer tout de suite. Puis-je vous suggérez, afin de mieux vous mettre en condition de mieux ressentir les effets du cuir, de me laisser vous préparer les fesses à la main ?... Claquée préalablement, et de façon convenable, la peau est rendue de la sorte infiniment plus réceptive dès les toutes premières cinglées, vous savez ?
Malgré ma surprise devant une telle proposition non déguisée, je répondis :
-Agissez avec moi comme il vous plaira…
-Dans ce cas, met toi en slip !
Sa voix, en me tutoyant, s’était faite plus incisive, tel un Maître.
J’ôtai mes vêtements, ne gardai que mon slip.
Philippe alla s’asseoir sur un tabouret en me remorquant par un bras, me fis coucher à plat ventre sur ses cuisses nues. Je sentis ses doigts s’emparer de l’élastique de mon sous-vêtement le plus fin et le plus intime, de le tirer vers le haut de mes hanches, de le faire glisser, s’incruster, se tendre dans le sillon profond creusant l’ample rondeur de mon derrière ! Quelle honte, secrètement délectable, de devoir lui présenter pour la toute première fois mes fesses nues sur lesquelles je l’imaginai river des regards passionnément menaçants !
Et, soudain, le premier contact de sa main nue sur la chair nue de mon cul nu, un premier contact en forme de caresse enveloppante, comme si cette paume et ses doigts qui allaient me claquer voulaient d’abord prendre la mesure de mon derrière crispé dans l’attente d’un châtiment imminent.
Comme pour prolonger à dessein mon anxieuse attente, il commenta :
-Quel cul !... Quelle douceur de peau !... Quelle fermeté de chair !... Quel somptueux arrière train !...
Enfin, ce fut la fessée !


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Une fessée qui commença presque timidement, avec de petites tapes plus posées que frappées.
Peu à peu, tant le va et vient, les soubresauts de mon cul devaient exciter mon fesseur, cela devint une vraie fessée vibrante et sonnante qui m’échauffa les fesses. Philippe commenta :
-Ah ! Il y a de la place pour les claques sur cette splendide paire de fesses bien rebondies !... Ah ! Que c’est agréable de fesser des rondeurs aussi fermes !... Sens-tu bien comme je te les échauffe !...
Mais la nouveauté pour moi encore inédite, c’était qu’avec la fessée se conjuguait cette incessante traction, énergique et saccadante, exercée sur mon slip dont l’entrejambe me pénétrait l’anus, le sciait, et, devant, m’écrasait la bite.
Le claques résonnaient sur ma chair de plus en plus enflammée, m’arrachaient de petits cris. La tête en bas, bras ballants et jambes battantes, pédalantes, je m’agitais de façon convulsive sur les cuisses de Philippe, tandis que mon cul s’élevait et s’abaissait en cadence, se contractait et se détendait, roulait, bondissait, s’offrait et s’effaçait tour à tour.
Le frottement du slip sur ma bite bandante m’excitait d’avantage. Du coup, entre mes cris de douleur, je lâchai :
-Aaaaaaaye !... Pluuuuuuus !... Encore !... Asssssssez !... Continuez !...
Conservant le silence, Philippe m’alloua dans l’instant des claques plus violentes, virulentes, qui cinglèrent, froissèrent, mon cul palpitant.
Jamais je n’avais encore autant vibré en recevant une fessée.
J’étais proche d’éjaculer.
Philippe le devina, cessa aussitôt de me fesser, me fit relever.



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Un jappement de rage fusa de mes lèvres.
-Alors, Olivier, ne te sens-tu pas dans de bien meilleures dispositions pour la suite ? Il ne faut pas rêver !... Interdit de jouir avant la fin. Pour la suite, je vais appeler un aide.
Philippe quitta son siège, alla vers un téléphone mural, demanda à son interlocuteur de lui envoyer Jérôme.
Puis il passa près de moi, alla vers un meuble, du tiroir supérieur sortit une paire de large et épais bracelets de cuir fauve, chacun muni d’un gros anneau d’acier. Il revint vers moi, me passa les deux bracelets aux poignets alors que pénétrait dans la pièce un jeune garçon aux yeux gris, lui aussi vêtu d’un short de cuir noir.
Jérôme me fixa, sans ciller, constata :
-Tu l’as déjà fessé. Parfait, comme ça il va mieux sentir mes caresses avec les martinets. Tu l’attaches ?
-Je termine à l’instant. Descend la chaîne !
L’arrivant prit un boîtier de télécommande et du plafond descendit une épaisse chaîne d’acier à laquelle Olivier attacha les deux anneaux de mes bracelets avant que ça remonte. Jérôme arrêta l’ascension quand j’eus les bras en tension mais pas étirés, talon et plante des pieds bien au sol.
Philippe, resté dans mon dos, posa ses mains sur mes hanches pour me faire goûter, comme la plus suave des caresses, la lente, très lente descente de mon slip au long de mes cuisses, de mes jambes qu’il jeta sur mes affaires.
Comme Jérôme allait se saisir du martinet aux nombreuses lanières, Olivier l’arrêta :
-Attend ! Je vais lui badigeonner l’anus avec la pommade choisie par son


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Maître, comme ça il aura le temps de l’apprécier pendant que tu le fouetteras.
S’étant ganté de latex, Philippe dévissa le couvercle d’un des deux pots, prit une grosse noix de crème blanche avec son majeur, revint vers moi tenant le pot d’une main, commanda :
-Jérôme, vient lui ouvrir le cul ; toi, écarte tes cuisses…
Le jeune garçon vint se placer latéralement dans mon dos, prit mes fesses chaudes dans ses mains, les sépara.
Je sentis la froideur de la crème lorsque le doigt s’enfonça en glissant dans mon cul, reçus l’ordre :
-Serre mon doigt en toi.
J’obtempérai. En fait c’était pour faire imprégner la crème dans ma chair.
Philippe ressortit son doigt, reprit de la crème et me l’étala sur l’anus, pénétrant juste un peu.
Puis il se recula alors que Jérôme allait reprendre le martinet et qu’en moi commençait à poindre une forte impression : ça me piquait et me chauffait. Je le dis :
-Aaaaaaah !... Ca chauffe !... Ca piiiiiiique !...
Pour toute réponse, alors que Jérôme se replaçait dans mon dos, Philippe dit :
-Vas-y, fais lui goûter ce martinet !
Aussitôt le jeune garçon se mit à me cingler le cul, une fesse après l’autre, de haut en bas, puis d’un côté et de l’autre, mais sans appuyer les coups, comme pour seulement raviver la sensibilité de mes chairs préalablement assouplies par la fessée manuelle.
Du coup je sentais moins les picotements de mon anus sensible.


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Jérôme me fouetta de la sorte plusieurs minutes, toujours sur un rythme égal, assez lent, m’échauffant graduellement la peau, me la rougissant à nouveau, me procurant des sensations certes douloureuses, mais qui ne me faisaient pas crier, juste gémir, me déhancher, lancer mon derrière au devant des lanières souples, sur lequel elles s’appliquaient en un faisceau compact.
La chaleur augmentait d’instant en instant à la surface de mes globes fessiers doucement trémulants, dont je pouvais voir dans les miroirs la recoloration progressive.
Je bandais.
Le claquement sourd de toutes les lanières s’abattant ensembles sur mes fesses, le choc de l’impact déprimant légèrement mes chairs, l’onde de chaleur recrudescente me grisaient.
Puis ça s’arrêta. Philippe, me contournant, me fixa dans les yeux, me demanda :
-Que penses-tu de ce martinet ?
-Il est merveilleux.
J’haletai… Philippe expliqua :
-Ces trois douzaines de lanières, taillées dans le plus souple chevreau, sont étudiées pour engendrer des effets gradués, allant du simple échauffant à la véritable cuisson. Maintenant je vais user du martinet à six lanières et déployer un peu plus de fermeté. Tu vas voir…
Il prit l’autre martinet, se posta dans mon dos et…
Surprenante et… cuisante la différence !
La température de mon derrière s’éleva très vite de plusieurs degrés. Cette fois je fis plus que grimacer et gémir. Je me tordis de douleur et poussai des cris en sentant mes fesses prendre littéralement feu :


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-Aaaaaaaye !... Ca fait maaaaaaal !... Nooooooon !... Maître !... Plus !... Ca me cuit !... Ouaaaaaaah !...
Jérôme vint alors se mettre à genoux devant moi, prit ma bite, qui bandait moins, dans sa bouche.
Je me mis bientôt à danser sous les cuisantes volées des lanières enveloppant mon cul sans discontinuer, évasant mes fesses, les contractant, me déhanchant de droite et de gauche, levant une jambe ou l’autre, battant des pieds.
Les larmes m’emplirent les yeux.
Quand les six lanières mordaient ma peau enflammée, je crispais les fesses, quand le bras se relevait, la bouche de Jérôme me faisait rouvrir mon derrière, qui s’épanouissait comme une belle fleur dévoilant tous les mystères de son calice.
Et les cuirs claquaient… Et la langue léchait…
Mes fesses brûlaient… Mes yeux pleuraient… Mon sexe bandait…
Je criais, me débattais et pantelais entre souffrance et plaisir, complètement affolé, désirant tour à tour que cela cesse et que cela continue.
-Ouaaaaaaah !... C’est horrible !... Maître !... Pluuuuuuus !... Asssssssez !... Aaaaaaaye !... Pitiiiiiiié !...
Cette musique devait réjouir les oreilles de Philippe qui visait avec soin les places moins colorées, donc moins chaudes, s’acharnait à transformer mon cul en une sorte de soleil couchant.
Je tremblais sur mes jambes servant d’amortisseurs à mon corps sursautant, que je tordais d’un coté et de l’autre au gré des cruelles cinglées des six lanières de cuir.
C’était véritablement horrible, douloureux et excitant à la fois.


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A travers tout mon corps s’échangeaient et se percutaient les ondes voluptueuses ou douloureuses issues de ma bite ou de mes fesses.
Après une salve de râles, je me mis à balancer mon bassin en tous sens, tandis que mon ululement emplissait la pièce, couvrait le bruit de l’éclatement des lanières sur mon cul.
En transe, tête renversée, yeux révulsés, bouche grande ouverte sur mes plaintes, j’éjaculai dans la bouche de Jérôme.
L’infernale correction cessa aussitôt. Je gémis :
-J’ai joui !... J’ai joui !... Oh ! Comme j’ai joui !...
Philippe approuva :
-Nous en sommes heureux. Maintenant, avant de te faire goûter aux paddle et cravache, je vais te détacher afin que tu te reposes ici. Nous reviendrons dans une bonne heure…
Je massai mes poignets libres, allai me rafraîchir dans la salle de bains attenante puis m’allongeai sur le canapé où je m’endormis, même pas gêné par la lumière des lieux.
L’entrée des deux garçons me tira de ma torpeur ensommeillée.
Philippe s’enquit :
-Bien reposé ?
-Oui, Maître !
-Passons à la deuxième et dernière partie du programme. Approche que je t’attache.
Je me mis sur pied, un peu inquiet malgré tout, me retrouvai comme auparavant poignets liés, bras levés.


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Philippe alla s’asseoir tandis que Jérôme allait prendre le paddle et revenait se poster dans mon dos.
Le paddle claqua sur mon cul.
La douleur et surprise furent si fortes, si vives que je n’eus pas le temps de rassembler ma volonté, mon courage si l’on veut, qu’aussitôt je commençai à crier, à sangloter, à me débattre.
Jérôme ne m’en fessa que de plus belle, se contentant d’éviter avec un soin maniaque mes reins et cuisses, me fustigeant uniquement le cul. Mais, cette fois, il me semblait que chaque coup me lacérait. J’avais perdu toute pudeur, tout orgueil, et hurlai comme un forcené, suppliai mon bourreau d’arrêter l’insupportable correction :
-Nooooooon !... Maître !... Pitiiiiiié… Ca fait trop maaaaaaal !... Arrêtez !... Plus ça !... Nooooooon !... Asssssssez !... S’il vous plaît !...
A chaque percussion du paddle de cuir sur mon cul, c’était comme si je recevais dix voire vingt claques à la fois. Horrible !
Mais autant supplier un mur de béton.
 Philippe vint se coller contre moi, me ceintura, si bien que je semblais offrir encore mieux mon cul, plus cambré, comme si j’ouvrais plus largement mon derrière aux assénements du paddle.
Je jure que je crus, tandis que Jérôme me fessait à coups redoublés, que le paddle allait me déchirer la peau au sens propre. Non seulement l’épiderme, mais les accès, les muqueuses épouvantablement fragiles du fondement.
Et cependant, à l’instant même que j’éprouvais cette crainte, la brûlure, le déchirement lui-même, parurent s’enfouir au plus profond de moi, se fondre en moi, rompirent dans ce mouvement violent et je faillis jouir.
Philippe s’en rendit compte lui aussi.


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Il me tira de coté, et le coup suivant ne percuta que le vide alors qu’il expliquait à Jérôme :
-STOP ! Il allait jouir… J’ai envie de l’enculer avant qu’il parte.
Jérôme vint l’aider à me détacher.
Ils me laissèrent porter les mains à mon cul rouge et bouillant dans la vaine tentative de calmer l’infernale douleur.
Philippe avança un gros pouf de cuir au coté de l’estrade, me commanda :
-A plat ventre, cuisses bien écartées.
Il se dénudait pendant que je prenais position, sa bite déjà bien bandée, la couvrait d’un préservatif de latex, ouvrait l’autre pot de verre et appliquait une bonne couche de gel pimenté sur le latex.
Se mettant à genoux entre mes jambes ouvertes, il appliquait du gel sur mon trou du cul. Ca me piqua aussitôt, me crispant.
Philippe me claqua par deux fois chaque fesse, dit :
-Décontracte-toi au contraire !
-Mais, ça pique, Maître !
-Subis !
Me tenant solidement aux hanches, il posa son gros nœud ovoïde sur mon anneau rectal, poussa.
Son gland monstrueux me dilata l’anus avec une force terrible, l’arrondit autour de soi au point que je crus qu’il allait éclater, força encore tandis que je ne pouvais retenir un cri déchirant sous la forte douleur.
Philippe poursuivit sans pitié son effort jusqu’au moment où l’énorme capuchon de chair, comme le cran d’une tête de flèche, eut franchi mon misérable anneau rectal atrocement distendu.

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Et soudain, à la façon d’un bouchon qui saute hors d’une bouteille de champagne, la masse même du gros gland jaillit dans mes entrailles ulcérées et parut s’y enfoncer à l’infini, propulsée par toute la longueur de la bite.
Pour tout dire, la sensation était d’autant plus épouvantable que la verge semblait ne pas combler mes entrailles. Après le premier déchirement de la pénétration, on pourrait croire qu’elle jouait en liberté, s’agitait et s’ébattait dans une sorte de vide, tandis qu’en arrière, mon anus demeurait écartelé à la limite de sa résistance autour de la racine qu’il enserrait malgré lui comme pour l’agripper, l’empêcher de s’en aller alors qu’elle me torturait et que j’aurai voulu désespérément  la rejeter, l’expulser hors de moi, de mon cul.
Je voulais, malgré l’intolérable souffrance, ou plutôt en raison de cette souffrance même, arracher de moi ce corps étranger envahissant alors que dans le même temps je m’efforçai de le garder, afin de le sentir justement, même si c’était dans le déchirement et la douleur taraudante.
Toute la bite fut finalement en moi, complètement.
Philippe opéra alors un retrait, ne laissant que le gland dans ma bouche anale puis se renfonça en force, tout en puissance, m’arrachant un grand cri :
-Ouaaaaaaaah !... Aaaaaaaye !... Maître !... Faîtes doucement !... S’il vous plaît !
-Cesse de te plaindre, donne-moi  ton cul, plutôt !
Il se mit à aller et venir en moi à grand coups de reins, et en même temps, il distribua des claques à mon cul rouge et torturé.
Jérôme vint s’agenouiller près du pouf, passa sa main entre le cuir et mon ventre, empoigna ma bite et me branla en cadence avec les allers et retours de Philippe.
Si bien que mes cris diminuèrent et que je jouis dans la main, peu après que Philippe se soit vidé dans le préservatif.


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Baigné de sueur, je me réveillai les draps du lit trempés de ma semence. J’avais rêvé tout cela.

Roma. 15 octobre 2012

19 commentaires:

  1. jeune garcon en pensiona j ai recu la fessée de 11 ans a 18 ans dans un college et lycée privé dans le midi de la france nous avions un directeur et une directrice un couple marie puis des surveillantes maitenant on appel ca des educatrices je dois reconnaire que l anbiance etait familiale j ai recu des fessées elle etait rare et mirité il y avait la fessée cul nul a la main et le martinet pour avoir la totale comme disait mes copains s etait tres rare ces fesseés avait lieu au bureau de la sur veillante de notre sections et puis si on avait une chose grave punition avant le renvoie la fessée par la directrice le directeur ssayait de remetre le delinquant dans la bonne voie jedois reconnaitre que l ambiance familiale un foyer ou nous pouvions nous distraire des jeux du sport des chambre a trois pour les plus jeune 2 et puis au bac a un une infirmiere malgres les fessées recu et donné par des jeunes surveillante ou educatrice celle cie suivait notre travaille notre santé faisait le lien avrc notre famille notre comportement on les voyaient souvent pour faire le point s etait pourles plus petits des vrais mamams pour les grands au momen de l adolescense des conseilleres elle n etait pas las que pour des fessées a part des fessées meritait nous ne recevions aucune claque allions a l eglise le dimanche pour celui qui etait catholique le pensionnat etait reputé on arrivait en train pour les plus loin aux vacance scolaire moi je revoyait ma famille tous les 15 jours uniforme pour les pensionnaires culotte courte reglementaire a mi cuisse short chausette blanche soquette et short je me souviens des fessées j aprentais on attendais dans le couloir en ayant la trouille assis sur les banc on rentrait pour notre fessée par deux et on resortais par deux ce qui etait humiliant c est de nous deculotter la fesseuse avait u sablier pour la durée de la fessée quand il y avait du martinet en plus un deuxieme sablier etait employé on doit reconaitre que la fessée et le martinet nous a jamais blessée un enfant et puis s etait comme ca a l epoque c est de cette epoque que j ai pris gout a aimer la fessée ce n etait pas tous mes camarade qui devenait masochiste c etait le bon temps le samedi apres midi quand les devoir etait fait on partait fare du scoutisme le feu de camps le samedi soir le montage des tentes la preparation des repas toute le pentiona partait voir les surveillante se trans formé en chef scoute setait le bon temps recevoir la fessée etait une bonne education la reussite au brevet bac etaient exellente la fessée pour les enfants n etait pas une mauvaise lmethode on devrait revenir a la fessée si les parents les profs les surveillantes aimes le pensionat on e garde de bon souvenirs les enfants

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  2. Un horrible week-end.

    J'ai reçu la fessée à16 ans .
    Cela remonte il y a peu près 3 semaines.

    J'était en week-end chez mon tonton et ma tata et un jours ma tata et ma cousine devaient partir.
    Donc j'était seul avec mon tonton. Celui-ci me dit de profité pour faire mes devoirs.. mais j'avais une grosse flemme. Frank(tonton) n'a pas supporté que je ne l'écoute pas et commence à me crier dessus. Comme si de rien n'était je lui est dit d'aller se faire encu*** . Il me demanda de répété, je lui répondit qu'il était bouché puis je lui redit ma phrase et là il se mit dans une colère noir et en 1 seconde je me retrouvais sur ses genoux allongé sans que je puisse bougé ( Frank est bien musclé et fait 2 tête de + que moi) et il me flanqua une correction de 2 mins env puis il baissa mon pantalon et recommença. Ensuite il me déculotte et là il me fit subir une fessée de au moins 20 mins .
    Après ça il me remit ma culotte et il me met contre le mur en me prévenant des risque si je partais.
    Il revint 1 min plus tard avec une cuillère en bois me remis sur ses genoux et me déculotta pour m'administré une magistral correction. Je pue m'empêcher de pleurer. Je le tapais pour qu'il arrête mais plus je tapais plus il frappait fort. Cette correction (la 2 eme partit )a durée 40mins(je devais l'avoir vraiment mit en colère )à la fin il me remit ma culotte puis il me mit mon pantalon en me relevant il dit d'aller faire mes devoirs mais j'ai préféré l'insulté et partir dans la salle de bain en courant(heureusement elle était à côté)et je ferme la porte à clé .
    J'ai regardé mes fesse dans le miroir, elle était rouge mais d'un rouge et pour compléter le tout du bleu-violet à certain endroit.
    A peu près 20 min plus tard je sort de la salle de bain et là je vis mon tonton se précipiter sur moi me prit par l'oreille , m'emmena dans sa chambre prit une ceinture et me fessa pendant 20 mins . ( bien sur déculotté) là il me laisse remonté ma culotte et mon pantalon et me mit une gifle énorme j'avais les larmes qui coulaient en me retournant vers la porte ma tata et ma cousine était là, elles avaient tout vue!! J'avais honte une fille de 16 ans se prend une fessé magistral et en plus les filles avaient vue la fin .
    Je partit me refugié de-nouveaux dans la salle de bain et la mes fesse était bleu-violet le rouge avait disparu.
    Le soir pour passer à table j'essayais de me mettre sur une chaise mais impossible .
    Pour dire bonne nuit je fît la bise à ma tata et pas à mon tonton tellement que j'avais la honte, celui-ci vint vers moi et me dit de faire attention la prochaine fois car ça pourrait être pire . Je lui dit bonne nuit comme même et partit me couchée avec ma cousine . Enfin je lui expliquai se qui c'était passé.

    Je pense que je vais m'en rappeler de cette fessée...et j'espère que c'est la dernière.

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    1. Ce n'est pas vraiment ça la discute du blog.... :/

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    2. Il a raison...

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  3. Cela remonte il y a 1 semaines .
    Je suis dans une famille d'accueil sévère et le père est horrible. J'ai 17 ans et pour une fois que mon père voulait bien que sorte le soir, je partit faire la fête mais avec des condition rentré avant minuit et porté un jeans et un haut simple. J'acceptais mais bien sur partir comme ça à une soirée n'était pas super alors dans un sac j'ai mis une robe de soirée (ancienne de ma mère un souvenir que je cache sinon je ne l'aurai plus) et des chaussure à talon.
    Enfin arrivée à la soirée , je demande à une amie la salle de bain et je vais me changée.
    Mon petit ami est là !! Sans plus tarder je cours le rejoindre et je passe la nuit avec lui.
    L'heure passe et minuit arrive. Je lui dit que je dois quitté, partir pour retourné chez moi mais celui-ci me dit:
    "Tu as si peur de ton père, aller reste"
    C'est vrai je n'ai pas peur de lui (pour l'instant) donc je décide de resté avec lui et on part chez lui ou je reste dormir.
    Le lendemain il me raccompagne chez moi, je vois mon père et des flics devant la porte (il est midi) .
    Je vais voir mon père qui me gueule deçu:

    "-Tu étais où???? Tu nous a fait une peur bleu!!!"
    et dans la foulé une gifle qui va avec.
    "-A cause de ton toi on a du appelé la police!! Tu répond même pas au téléphone!!"

    et une deuxième gifle part mais encore plus fort que l'autre!!
    Les policiers qui étaient là ne voulaient pas partir sans rien car mes parents les ont appelé pour rien.
    Alors un des deux policier dit à mon père
    "-J'ai une idée on fait comme si de rien n'était si vous lui mettez une fessée "

    Mon père accepta sans même réfléchir et demanda aux policiers de me surveiller le temps qu'il parte chercher la cuillère en bois.
    Puis mon père arriva avec la cuillère et demanda au policier le plus petit de me donner la fessée, mais il accepta point et le deuxième flics, le plus musclé et grand , prit la relève.
    Le flics me dit de baissé mon pantalon, bien sur je refuse , alors il prit un air plus sérieux et recommença et répondit non.
    Mon père nous dit de monter dans la chambre pour être plus à l'aise et ils acceptèrent même moi car dans la rue cela aurai été horrible.
    Dans la chambre de mes parents le monsieur me redemanda de baissé mon pantalon je refusa et je prit la fuite mais malheureusement le flics rapide me rattrapa, déculotta et une fessée (main nue ) me fit administré. J'essayais de me débattre mais celui-ci me tenait d'une main ferme et fessa encore plus fort. Env 50 claques me fit administré et 20 claques avec la cuillère en bois .
    Enfin fini , mon père remercia les policiers de leur gentillesse ( surtout pour lui )
    et les flics partirent.
    Mon père se retourna me mit une autre gifle, me prit par l'oreille et me fit descendre à la cave ou je me suis prit le martinet, la paddle, la canne .
    Puis la correction se termine et je devais resté debout , main sur la tête pendant 30 mins se qui me paraissait interminable et pour compléter le tout en rentrant le samedi chez mes vrai parents , mon père au-courant de tout me donna 4 géante gifles et une autre fessé qui regroupait beaucoup d'instrument .

    3 jours plus tard visite chez mon petit ami en douce, je lui racontais se qui c'était passé et en profita pour me faire subir une autre fessée mais avec beaucoup d'amour et de tendresse même si j'avais mal et que mes fesses étaient bien rouges.

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    1. Ah enfin tu nous racontes ton histoire!
      C'était long et tu ne te confie même pas à ta meilleure amie, enfin tu n'as plus Facebook et privée de sortit, horrrrrrible ton père. Tkt le mien est pire
      promis je vais en mettre une sur se site mais... tu vas voir ;)

      Je me souviens aussi le jours de la fête, où ton père t'a pris par l'oreille pour rentré et ton ptit' copain t'a défendue et c'est lui qui c'est pris la fessée! lol il a trop pleuré le ptit'chat.

      Enfin pas la joie , en + ton père est un dur a cuire :/

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    2. C'est un site sur la fessée érotic !!! :/

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    3. Je confirme ....

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    4. Oui c'est vrai mais en faite j'ai vraiment apprécier et cela est devenue un jeu que je pratique avec mon copain *-*j'adore :-) Et a chaque fois une nouvelle histoire et on change de tenue ;-) bref c'est trop bien ...

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  4. bonjours les petites filles recevoir une fessée on voit que c est un fantasme moi j ai recu des fessées jeunes garcon elle sont réelle quand vous etes une jeune ados provoqué un adultes ca peux arriver la reaction de la fessée dois etre proportioné si on donne une fessée c est que le jeune la merite mais moi a mon age donnée une fessée ce n est pas un acte sadique c est un but educatif je ne donne pas des fessées a des petites fillespar mechanceté si vous avez un petit copain demandez lui que gentiment il vous initie a la fessée il ne faut pas oublier que la fessée est erotique j ai initié des jeunes fille dans un jeux de role que celecie sentent leur fesse bien rouge et en meme temps du plaisir et connaisse un orgasme par la fessée des fessées d une heure les filles c est trop long je plain vos petite fesses portez des jupes et des petites culotte sexie qui mettent bien en valeur vos fesses pas de colant de string vous pouvez joué a la petite ecoliere ou a la petite sousbrette vous pouvez mettent des nattes le petit short court et sexie peut etre sympas j ai 70 ans je fatasme sur la fessée marie nous pratiquons la fessée entre nous quand l un des deux dans le couplé est en desaccord une fessée et apres l amour c est formidable

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    1. hey ! :D
      oui je confirme les scénarios c'est vraiment bien ;) et surtout avec son petit ami :*
      C'est exactement se que l'on fait ^^

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  5. Coucou :D
    Voilà j'ai 14 ans et je pratique se petit fantasme avec un garçon de 20 ans ^^ j'allais le voir mais mes parents de savaient rien .... sauf que je me suis fais chopper ( je ne sais pas comment) et ne veulent plus que j'aille le voir car il ne veule pas que je la pratique à mon âge et surtout pas avec un lec de 20 ans qui est mon meilleure pote:'(
    Malgré ça j'y retourne quand même et quand il me la donne ça peut être sévère ou assez doux mais douloureux comme même :)
    bref j'en suis devenue accro mais comment dire a mes parents que j'aimerais vraiment le faire?
    voila bisous :*

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  6. a tous les jeunes qui on recu des fessées a mon avis elles sont largement meritées moi en france en 1960si je vous fouette se seras avec un bon martinet il ni ya pas mieux cuisse jammbes fesses raie anale zizi et chattes le martinet n est pas dangereux mais exellent pour la santé de vos fesses les meres de famille toutes en avait un et les gamins gamines etaient obeissant a notre epoque les gamins ne craignent rien

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  7. ce que je retiens apres le recit du jeune home homosexuelle c est que la domination les fessées recues par un maitre severe favorise un vigoureux enculage tous les jeunes garcons soumis par la fessée offre leur cul a leurs fouetteurs conclusion les petits minets aiment la fessée et ofre leur cul a une bonne bite je fais partie des jeunes garcons qui recherche un maitre pour les fouettées et les enculée je porte des petits shorts bien moulant tres court j attends mon futur maitre dans les bois de verrieres banlieu sud paris me contacter venir avec un martinets je vous offre ma bouche mes fesses a fouetter ainsi que mon cul a tous les maitres vennir nombreux de nombreux minets vous attendent

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  8. Je recherche sur Nice un Maitre plus tôt âgé, rencontre dans un parc, j'adore pour l'occasion porter des shorts très courts, je rêve de me faire fouetter le haut des cuisses contre un arbre, puis recevoir une fessée....40 ans, c'est un fantasme qui m'obsède, première expérience, je veux voir... contacter moi pour rdv serpent126@Hotmail.fr

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  9. Précision, pour la fessée dans un parc ou dans un bois, je suis un homme de 40 ans, je porte quand je sors un sort court, je marche en général deux heures dans un parc (celui du Vinegrier à Nice) je rêve d'être accosté, je n'ose pas moi même, je suis timide et très passif, je rêve donc d'une rencontre (que j'essaie ici de provoquer...) un homme plus âgé, il est autoritaire, cash, m'attrape, me conduit derrière un arbre et me tape fort sur le haut des cuisses (derrière mais aussi devant) puis m'enlève mon short et me frappe sur les fesses... je veux tenter cette expérience, c'est un fantasme mais qui m'obsède, j'y pense tout le temps, j'aimerai voir.... vous pouvez me contacter toujours sur serpent126@hotmail.fr Merci nous préciserons ensemble un scénario. Si quelqu'un vie ou a vécue cette expérience pouvez-vous me faire part de votre retour, je suis obsédé par le short et les fessées, comment assouvir cela? et ou aller, je suis novice....

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  10. Nous étions en 1976 et moi et ma soeur nous allions ,comme pas mal d'autres enfants dans une école privée,ou la blouse en nylon était obligatoire,la notre était de couleur beige et assez longue ,de plus meme arrivé à l'age de 15 ou 16 ans nous étions toujours en culottes courtes tenues par des bretelles,en plus on devait mettre un beret dès qu'on sortait!en plus on était fessés moi et ma soeur avec le martinet de maman et dont les lanieres en cuir nous faisaient si mal !,mais en plus nos parents avaient signés un papier à l'école comme quoi nos institutrices avaient le droit de nous fesser au martinet également!bref bien souvent à force d'etre fouettés ma soeur et moi on n' arrivait meme plus à s'assoir sur une chaise!En plus ,nous les garçons tous les mois nos meres nous rasaient nos tetes avec leurs tondeuses ,et arrivés à l'age de 16 ans je me rapelle que je me suis plaint à ma mere comme quoi j'en avais marre d'etre habillé ainsi et qu'elle me rasait la tete avec sa fichue tondeuse,ce qui m'a vallu une fois de plus une belle fouettée au martinet ,alors je n'ai plus rien dit!.Ce qui nous déplaisaient aussi à ma soeur et moi c'est le fait que certains jours nos meres venaient nous chercher à la sortie de l'école elles aussi dans leurs hyper longues blouses en nylon et une charlotte e plastique épaissur leurs tetes et leurs martinets en main ,et nous étions conduits à travers les rues de la ville comme ça !et par malheur si elle tombait sur une amie et discutait avec elle ,si jamais on se melait de la conversation ou on montrait de l'impatience ,SCHLACK les lanieres du martinet nous tombaient de nouveau sur nos jambes,en tout cas nous les garçons et les filles des anées 60 et 70 on peux dire que nous en avons reçus de belles volées au martinet par nos meres!

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  11. Moi par contre j'en ai gardé un bon souvenir dans les années 70 des blouses en nylon,culottes courtes ,bretelles et le beret!deja en plus lorsque j'ai quitté l'école primaire et que je suis entré au lycée à l'age de 12 ans Il fallait aller à 12km de chez nous à ce lycée mais ma tante donc le soeur de ma mere est qui était Infimiere et qui habittait à coté du college en question en accord avec mes parents m'a prise chez elle.Je me rapelle d'elle c'était une femme assez authoritaire ,grande et grosse aussi !et du fait de son metier d'infirmiere était toujours dans ses longues et larges blouses en nylon blanches à grands boutons noirs en plastique et son beret sur la tete!En plus elle était très exigeante sur ma tenue ,car pendant des années Il fallait que je marche au doigt et à l'oeil avec elle!Et le dimanche son seul jour de repos ,et si j'avais été sage à son gout on partait à velo ,mais toujours habillé de la meme façon,c'est à dire en blouses ,berets et moi en culottes courtes ,bretelles etc...en plus elle prenait le martinet dans sa poche de blouse!au cas ou !et nous faisions 6km pour arriver dans une grande foret ou on laissait nos velos cadenassés et on faisait une bonne marche pendant au moins 2H Avec tout notre barda sur nous quand j'y repense qu'est ce que je pouvais suer dans mes blouses en nylon et beret ,meme lorsqu'on rencontraient des personnes de sa connaissance et qui m'invitaiet à jouer au ballon si jamais je tapais trop fort dans le ballon ,elle m'appelait et devant tout le monde je devais m'allonger sur une des tables dans la foret ,puis elle me relevait ma blouse et "Schlack" son Martinet de nouveau cinglait mes fesses,,Mais curieusement J'en ai pas gardé un mauvais souvenir car certes les lanieres en cuir faisaient mal,Mais personnelement arrivé à l'age de 14 et 15 ans j'aimais toujours qu'on me traite comme un petit garçon ?!et meme après avoir été fessé au martinet je m'assoyait sur ses genoux ou au contact de nos deux blouses en nylon glissaient et en plus elle aimait aussi après la fesée au martinet passer sa main sous ma blouse pour me tenir soildement par mes bretelles de derriere ce qui me plaisait beaucoup et arrivé vers mes 16 ans ou enfin je pouvais porter des pantalons et que je n'étais plus fessé au martinet ,cela me manqua ,est le fait que j'aimais etre traité comme un gamin ?!

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  12. Je rejoins le témoignage précédent. Même si j'ai été élevé sévèrement par ma mère dans les années soixante et au début des années soixante-dix, je n'en garde pas un mauvais souvenir. Quand elle a décidé d'employer un martinet lors de mon redoublement de la 6°, j'ai trouvé cela mérité ; à onze ans, j'étais un des rares garçons du quartier à ne pas y avoir goûter. Auparavant elle me claquait les cuisses nues à la main et ça piquait drôlement. Avec le martinet, les lanières me faisaient l'effet d'une brûlure et je trouvais cela plus douloureux. Je le recevais uniquement sur les cuisses nues car j'étais la plupart du temps en culottes courtes et ce qui m'embêtait c'était que les traces se voyaient ; mais ma mère disait que ça faisait partie de la punition. En tout cas le martinet m'obligea à mieux travailler et à soigner mon comportement. Ma mère se montrait très affectueuse avec moi et elle fut surprise en bien de l'effet positif du martinet sur moi. A treize ans je reconnus moi-même que le martinet me stimulait et indiquait à ma mère qu'elle pouvait continuer à l'employer et que j'étais d'accord pour ne mettre que des culottes courtes. Encouragée par mon volontarisme, ma mère ne se fit pas prier. Les culottes courtes furent ramenées à une longueur minimale dégageant les cuisses aux 3/4. Un barème de martinet existait déjà pour mes notes insuffisantes ais ma mère y ajouta un barème de discipline "familiale" en cas d'écarts de langage, impolitesse, mauvaise tenue, manque d'ordre, désobéissance, retards.... Le martinet ne me fut donc pas épargné mais toujours à bon escient. De petite taille et continuellement en culottes courtes, je gardais toujours une allure juvénile même à 14-15 ans. A seize ans, je pus aller en classe en pantalon mais je demeurai en culottes courtes le reste du temps et le martinet ponctuait toujours mes écarts.

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